MAISON CLOSE
Sylvie Dol possesses extensive experience in accounting and human resources management, currently serving as an Accountant and Human Resources Manager at LOVELY PLANET since October 2014, and as a Human Resources Manager at MAISON CLOSE LINGERIE, also since October 2014. Sylvie's responsibilities include the administrative and social management of personnel as well as payroll management. Sylvie holds a DUT GEA degree in Administration and Management of Small Enterprises from Université Côte d'Azur, earned between 1994 and 1996.
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MAISON CLOSE
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Par quelques traits feutrés, Maison Close décèle les pensées les plus confidentielles, cultive sa particularité de troubler les sens avec l’art et la matière. L’art de créer de nouvelles lignes en partant d’une simple page blanche, l’art d’ériger en marque désirable ce que le vêtement rend de plus captivant. La matière, qui tour à tour tamise, accentue, dissimule ou dévoile, la matière qui épouse un état d’esprit avant même que le corps n’en soit épris. Coutumière d’une audace depuis 2006, Maison Close trace sa liberté créative dans les univers intimes qu’elle se plaît à encapsuler ; ils se déchiffrent par la lucarne d’un langage émotif. Qu’importe si les coupes claires et structurées piquent parfois la décence et repoussent à la marge la bienséance, c’est d’abord aux instants d’insouciance que cette Maison de référence tire sa révérence. Aussi ténues soient-elles, les tenues Maison Close révèlent la sensualité, soutiennent les intentions, qu’elles soient visibles, diaphanes ou privées. Comme une parure de scène magnétique, chaque pièce attend que sa fonction soit invoquée, chaque ensemble s’harnache au moment de grâce qu’il reste à provoquer. Tandis que les étoffes ciselées et les shapes affûtées fusent, tandis que les coutures inventives se tressent aux pièces maîtresses, une esthétique honorant la séduction à la française éclot. Un charme qui a le don de courtiser le temps long : ne se fiant ni aux préceptes cadrés ni aux tours de cadran, les collections sont conçues selon leur propre cadence, comme sculptées à fleur de peau. De quoi parfaire une écriture photographique qui puise sa noblesse dans le soin du moindre tombé, dans l’attachement au moindre effet. Voilà que les opacités, les mats et les brillances, les nuances irisées et les jeux de transparence suscitent un réflexe cérébral et instinctif permettant à la retenue de se faire la belle : après le regard, le toucher s’en mêle. Cette décharge sensorielle brouille les repères et galvanise les cœurs.